Les dernières parutions

Comprendre l’attrait grandissant de l’Afrique dans le monde

Véritable seigneur des affaires, Christian Kerangall, Parisien débarqué à Libreville il y a un demi-siècle comme petit comptable, nous offre le récit de ses cinquante années passées au Gabon. « Courtisé, jamais courtisan », telle est la devise de cet homme capable de parler cash avec les dirigeants du « continent de l’éphémère ».

La course contre la mort

Dans la brume matinale de la banlieue paloise, Céline quitte le domicile conjugal pour son entraînement hebdomadaire. Inquiet de ne pas la voir revenir, son mari appelle la gendarmerie. Pour le commissaire Laffitte, commence alors une course contre la montre, une course contre la mort pour tenter de retrouver la joggeuse en vie. Rebondissements et suspense garantis, un roman à dévorer de toute urgence…

La quête d’un sens

« Chacun a une place et l’une vaut l’autre, et ça s’arrête là. Donc, on est bien. Si on se voit demain, c’est chouette ; si c’est dans un an, c’est chouette. Faut pas compliquer, d’autres s’en chargent… »

On suit Mathias ; on suit Steve ; mais sont-ils si différents ? Chacun dans ses pensées s’évade ; ils sont quelque part, ça c’est sûr, mais où ? Dans Chacun à sa façon, il n’y a pas de personnages extraordinaires ; nous vivons, avec une envie de douceur teintée d’humour ou de dérision, ce quotidien qui fait notre histoire.

Un roman vrai qui se lit comme un polar

Un illustre monsieur s’invite aux Éditions Le Roi Lire. Après une vie bien remplie à créer des émissions de télé qui ont fait le bonheur du grand public, Jean-Paul Rouland nous régale ici avec ce roman vrai qui relate son enfance durant les terribles années d’occupation. La plupart des personnages ont existé, il les a côtoyés et se donne le rôle du récitant en s’inspirant de son propre vécu. Un grand moment !

Des nouvelles qui font froid dans le dos

Après Trahison et rédemption, Grégoire Vardakis s’attaque à présent au thriller psychologique avec son héros, le commissaire Ludovic Tripot, qui doit faire face à des défis inhabituels qui ne laissent pas d’interpeler ce fin limier !

Un parangon d’humour et de situations insolites

On ne se lasse pas du talent des auteurs qui jouent de la langue française avec un brio déconcertant et, surtout, de l’autre talent très particulier du brillant détective Alex Fouchet de L’Agence A. Fouchet Enquêtes et Miracles et ses inséparables créatures de rêves qui savent, on le sait, rendre à la vie la simplicité qui lui est due.

“Suspens garanti !”

Pendant son enfance, Lucien Correa s’est découvert un don digne d’un faussaire de génie. Devenu adulte et rentré dans le rang, il ouvre à Paris, peu avant la guerre, la galerie Les 9 Muses, spécialisée dans les œuvres des Grands Maîtres. Celle-ci connaîtra rapidement un grand succès.

Pendant l’Occupation, un bien étrange personnage fait une apparition aussi anodine que soudaine dans son bureau….

Rencontres fortuites, trahisons amoureuses, mensonges… et rédemption, l’ouvrage de Grégoire Vardakis nous entraîne dans un monde sans pitié où passé et présent s’entrecroisent…


À la rencontre du bien et du mal

À 28 ans, Samuel est un jeune homme désabusé et misanthrope, ayant, pour seule échappée de ce monde dont il ne perçoit que les souffrances, l’Art, et ses cigarettes. C’est d’ailleurs en fumant l’une d’elles qu’il voit apparaître Gabriel blessé, désespérément en quête d’un humain. Commence alors une errance aux côtés de cet être angélique dans un monde qui accable Samuel par son absurdité, l’altruisme du premier se confrontant au cynisme du second.

Ils ont le droit de vivre dignement ! 

D’un réalisme qui fait froid dans le dos, l’ouvrage de Céline Van Regemorter nous emmène dans l’univers des migrations et des traumatismes psychiques qui en découlent. Il dépeint les conséquences des politiques d’asile occidentales sur la vie sociale et émotionnelle des êtres humains qui y sont confrontés.

L’auteure, née à Bruxelles en 1984, est thérapeute. Exil, son premier roman, est inspiré de son travail auprès de femmes demandeuses d’asile et de ses recherches ethnographiques auprès d’employés du Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides, chargé des procédures d’asile en Belgique.

Un récit intimiste drôle et émouvant 

Moi, tout ce que je demande, c’est un été radieux pour me remplir de soleil, une piscine aux mosaïques bleues pour me rêver dans un lagon et quelques ustensiles de mode pour me sentir à la page.
Et à ce propos, quoiqu’en dise mon entourage, cette année étant aux faux ongles en résine collés sur les vrais et peints de couleurs bigarrées, craquées, collées, taguées, avec mon bleu roi nacré sur mes ongles non résinés, j’étais petitement et sagement dans la norme.
J’en avais même mis aux pieds et étais assez fière de mon audace. D’autant que je n’étais pas dupe du regard étonné des gens croisés à l’Extra M, le supermarché local.
Car, pour tout vous dire, dans les Cévennes profondes et rurales où nous avions déposé nos valises, nous étions loin de Saint-Tropez et de ses vices et, en bonne future quinquagénaire, j’étais loin du profil de ses bimbos.

Mais, au fond, je m’en foutais, car les vacances suivaient ostensiblement un rituel que seule je décidais et inévitablement imposais aux autres, ma famille comme tout un chacun. Et si je n’étais pas innocente de cet égoïsme infligé à tout le monde, je savais aussi que mes vacances ne seraient réussies qu’à ce prix-là.


Un vrai régal !

«  Tu lis, tu lis, et puis ? À force de lire, qu’as-tu ajouté à ta vie ? Et au monde, à tes proches ? 
Ces questions vous sont familières, sans doute. J’ai voulu répondre, ou essayer de répondre, en commençant par les premières expériences de lecture que toute personne a vécues, bien sûr de façon singulière. Elles feront peut-être écho aux vôtres… »
Voici donc quelques épisodes fondateurs de la vie d’une lectrice, en commençant par les tout premiers. Ils ont orienté mes manières de lire et mes choix futurs ; ils ont cassé le moule du malheur et m’ont préservée du pire. Peut-être m’ont-ils aussi détournée du mieux, qui sait.
Alors, la lecture : expansion de la vie par ouverture à des mondes nouveaux ? Ou concurrence à la vie ? Ou encore sauvetage ? Parfois, en effet, lire sauve et repousse le malheur aux aguets, mais il arrive que face aux difficultés rien ne vaille un bon gros éclat de rire.
On l’aura compris, aucun débat théorique dans ce récit en fragments : on va plus loin en racontant.

Les histoires d’amour finissent mal,
en général !

Quand nous sommes censés incarner un personnage qu’une quelconque déité aurait bâclé, occupé qu’elle était à peaufiner les détails du parcours d’un illustre seigneur, rien ne nous empêche de lui arracher la plume et nous occuper nous-même d’écrire notre propre destinée.

Né sous une mauvaise couleur, issue de la maladroite rencontre entre un pauvre type et une sotte, j’avais toutes les cartes en main pour me perdre en cours de route, et si j’ai réussi à changer la donne, c’est avec toi, grâce à toi et pour toi, Adriana.


Entre amour et destruction

Le Flambeau, évasion assurée grâce à ce roman puissant où passion et destruction se côtoient pour notre plus grand bonheur… 

Je me retrouve seul ce soir, dans cette pièce qui abrita mon bonheur. J’y reviens pour la Lorsque je pense à cette journée, il me semble qu’elle aurait dû m’éclairer davantage – l’autorité de Martine, à laquelle sa sœur se soumettait si librement, portait en elle le germe de notre drame…

Deux sœurs sont prises d’une passion dévorante pour le même homme.